Pour faire la marinade, laver et mixer le poivron, les ognons, les gousses d’ail, le persil, la coriandre, le sucre, l’huile, le vinaigre, la moutarde et le concentré de tomate. Saler, poivrer.
Couper la viande très grossièrement et enrober avec la marinade. Laisser mariner 6 à 12 heures au frais.
Colorer la viande dans la rôtissoire 2 minutes sur chacun des côtés, puis ajouter le bouillon et cuire à 160°C statique pendant 4 heures. Arroser et surveiller la quantité de liquide. Il faut que ça reste bien humide.
Sélection des 10 exercices les plus courants et simples pour se maintenir en forme à la maison,chaque jour, du point de vue de la musculation. Evidemment, il existe des tonnes d’autres façons de travailler les mêmes muscles. Si vous décidez d’essayer ces exercices, faites-les toujours en pensant à bien respirer.
ABDOMINAUX : la planche, tenir dans la position pendant 1 minute ou plus.
2. Puis dans l’autre sens pendant 1 minute :
3. Et des deux côtés : chacun 1 minute.
4. FESSIERS : rester dans cette position pendant 2 minutes en faisant une pause toutes les 30 secondes (par exemple).
5. ABDUCTEURS, le classique : pendant 1minute à vitesse normale, monter la jambe, puis la ramener près de l’autre. Ensuite, faire la même chose dans l’autre sens pendant 1 minute.
6. ADDUCTEURS : un exercice qu’on oublie facilement, mais c’est celui qui muscle le côté intérieur des cuisses. Couché, plier une jambe devant l’autre comme sur la photo, puis monter et descendre celle du bas pendant 1 minute. Recommencer de l’autre côté.
7. APPUIS FACIAUX : pendant 1 minute. Eh oui, je les fais sur les genoux, c’est moins décourageant…
8. APPUIS DORSAUX : il faut vous appuyer sur quelque chose de solide et procéder comme pour des pompes, mais à l’envers, pendant 1 minute.
9. TRACTIONS : c’est le seul exercice qui nécessite une barre fixée au plafond. Le nombre et la manière de les faire dépendent de chacun.
10. LOMBAIRES : couché sur le ventre, serrez lentement tous les muscles du corps pour vous soulever en tirant les bras vers l’arrière et détendez en remettant les bras devant vous, pendant 1 minute par exemple.
BONUS: Roméo vous montre aussi quelques exercices de sa composition.
Via ferrata, Kayak de mer, Kayak de rivière, Hors-bord,Baignade
Je vais parler dans cet article du voyage que nous avons fait en Sardaigne en octobre. Comme j’ai toujours besoin que ce soit bon marché et actif, je prépare les voyages en général moi-même, même si cela prend parfois plus de temps.
Je mets en fin d’article les références du logement et des activités pour les personnes que cela intéresse.
La vidéo en fin d’article reprend tout le voyage et montre à quel point c’est un endroit magnifique.
Nous avons dormi dans une maison d’hôte près d’Alghero, que j’avais choisi pour le prix et la piscine. Malheureusement, la piscine n’était pas en « état de marche », j’aurais râlé, mais comme j’ai été malade je n’aurais de toute façon pas pu me baigner. De plus, pour accéder à cette maison, il faut louer une voiture.
Alghero est une charmante ville au nord-ouest de la Sardaigne qui a été un très bon choix comme point de départ. C’est touristique, mais pas trop, ça reste joli. Le climat est bon et il y a tout ce dont nous avions besoin. Je vous recommande cette partie de la Sardaigne.
J’avais préparé les informations de plusieurs vias ferratas, mais étant donné mes trois jours d’abominable pharyngite et ma promenade dans le labyrinthe du bâtiment des urgences italiennes, nous n’en avons finalement fait que DEUX.
La via ferrata di Giorré, qui se situe à Cargeghe, à 46 minutes d’Alghero. C’est une via ferrata très latérale et très longue, dont nous n’avons fait qu’une partie parce que je n’étais pas encore tout à fait d’attaque pour la faire en entier. Du coup, le retour a été un peu compliqué, on n’avait aucune idée de là où il fallait passer et on s’est retrouvé aux abords d’une ferme gardée par des chiens qui avaient l’air dangereux. On a réussi à passer à côté finalement.
La plus belle via ferrata que nous avons faite jusqu’à aujourd’hui est celle du Capo Caccia, la via ferrata del Cabirol. Elle est aussi assez latérale et à certains endroits il n’y a pas de câble, mais elle donne tout le temps sur la MER. Magnifique !
Le kayak de rivière :
La plus belle surprise du voyage. On charge les kayaks dans la remorque du bus, on monte dans le bus et il nous abandonne en amont de la rivière, tout seuls ! Alors on y va, on pagaie pendant 6 heures,mais c’est l’aventure, on se serait crus dans la jungle. C’était quand même unpeu long sur la fin, mais cela en valait la peine. Voir la vidéo plus bas !
Le kayak de mer :
Petite demi-journée où on a bien usé nos bras. Après avoir pagayé jusqu’à une petite plage avec de l’eau cristalline, le guide nous a prêté des masques « aliens » qu’on ne connaissait pas encore et qui permettent presque de respirer sous l’eau, car l’eau n’entre pas dans letuba. Alors baignade et snorkeling. Et ensuite, retour au point de départ.
Le hors-bord : quand j’étais en train d’agoniser dans mon lit, Jorge et Tom ont loué un hors-bord, se sont baignés et ont fait des magnifiques prises de vue (voir vidéo), et notamment le moment où une de leurs casquettes s’envole mais qu’ils réussissent à rattraper.
Voilà une petite semaine bien remplie qui s’est terminée par une journée et une nuit à Santa Teresa di Gallura, qui est la ville la plus au Nord de la Sardaigne et que je n’ai pas trouvé intéressante.Elle est grande, chère, pas spécialement belle et c’est simplement un port important, puisque c’est la principale liaison avec la Corse.
Pour ceux qui ont reconnu la musique, c’est les Backstreet boys, qui sont en concert à Zurich en 2019. Le billet coute 200francs, alors moi je les garde pour un vrai voyage !
Références pour les futurs voyageurs :
Logement (Alghero): B&B Castiglias,attention il n’y pas de wifi dans ce logement.
Kayak de mer : je pense qu’il s’agissaitde Sea Kayak Sardinia et si je me souviens bien, le guide était américain.
Kayak sur la rivière : http://www.newkayaksardinia.com
Un tout petit article pour vous expliquer comment recycler une éponge de bain de bébé (ci-dessous) en accessoire à cheveux pour se faire un chignon de princesse.
Dessinez un rond (on peut utiliser un verre retourné) sur l’éponge, puis un plus ou moins petit au milieu (ça dépend de l’épaisseur de votre masse de cheveux).
Ensuite, découper au cutter le centre et tout ce qui dépasse. Cela donne quelque chose comme ça:
Suivez les étapes du tuto photos pour mettre l’éponge dans les cheveux et …
Il nécessite un vieux jean et un autre vieux vêtement en coton. Moi j’ai rajouté une ceinture, quelques breloques et quatre boutons pression.
Mon sac:
Le tuto suivi:
2. Le petit sac à main
Ce sac ne nécessite
aucune couture, mais presque deux tubes de colle. Il est fait de briques
de lait recyclées, de tissu et de sangles.
Mon sac:
Le tuto suivi :
Je mets ici la vidéo du tuto que j’ai
suivi, mais j’ai remarqué qu’il y en avait plusieurs qui montraient la
même chose alors je ne sais pas de qui est venu l’idée en premier.
Attention à adapter la taille des tissus : le deuxième tissu (pour les
briques de lait suisses) doit mesurer 54 cm x 28 cm et les anses 40 cm.
3. Le petit « gym bag »
C’est un sac à dos simple à
cordons en forme de poire, de taille moyenne. On peut le faire avec un
seul tissu ou deux. Il n’est pas doublé, alors mieux vaut prendre des
tissus un peu épais style ikea.
Comme je le disais dans mon article
précédent, la grande Canarie bénéficie d’un été bien prolongé avec un
printemps précoce. En plus de ça, je dois ajouter qu’il y a parfois
énormément de vent, ce qui en fait un spot de rêve pour les surfeurs.
Malheureusement je ne surfe pas, mais si vous cherchez où surfer, je
crois que c’est un endroit parfait pour ça, même mieux que pour la
baignade.
Cela vaut la
peine de louer une voiture ou de se déplacer autrement dans l’ile. En
effet, le nord et le sud sont très différents. Le sud est sec avec de
grandes plages et de grands complexes touristiques. Des hôtels immenses,
des centre commerciaux de restaurants qui proposent tous des tapas, de
la nourriture allemande, italienne, mexicaine, etc… Difficile de faire
moins authentique.
Le nord
de l’ile est plus nuageux et plus montagneux. Il y a beaucoup plus de
végétation, des volcans et des plantations de café, et de bananes, entre
autres. De plus, il est important de visiter Las Palmas et de profiter
de sa plage. N’hésitez pas à gouter aux petits restos des rues
transversales, même dans les quartiers touristiques. Petite chose à
savoir pour ceux qui ont l’habitude de manger tôt: les horaires de repas
sont espagnols, c’est-à-dire que les restaurants ouvrent de 13h à 16h
environ pour le repas de midi, et le soir ils n’ouvrent jamais avant
20h.
Comme il y a
beaucoup de vent, nous avons trouvé plutôt beaucoup de plages du nord où
flottait le drapeau rouge, mais elles sont belles quand même. Certaines
sont de sable noir, d’autres de galets. Les plages de Maspalomas au sud
ont un sable plus clair.
Pour
gouter les spécialités, mieux vaut se rendre dans le nord, par exemple à
Las Palmas. Les boutiques de souvenirs vendent des spécialités
délicieuses : sauces typiques « mojo rojo» et « mojo verde » qui sont
des sauces faites avec des poivrons, confitures de papaye, mangue,
goyage et fruit du cactus, liqueur de banane et « ronmiel » qui est un
alcool au gout de miel de palmiers si je ne me trompe pas. Cela dit,
vous les trouvez moins chers et en plus grande quantité dans les
supermarchés.
Ah
oui, j’allais oublier : Gran Canaria est l’ile du sport. Pas seulement
du surf, mais aussi du golf, du cheval, de la course à pied, du vélo,
etc. Vous croisez PARTOUT des gens en vêtements de sport ou en train de
faire du jogging, du vélo ou du stretching. Nous avons même marché sur
une promenade sur laquelle étaient fixés des appareils de fitness.
De plus, il y a TROIS magasins Décathlon sur 30km de distance seulement. Du coup, on en a profité quand il pleuvait 😉
Pour
finir, il faut parler de cette phrase que vous entendez partout où vous
allez là-bas, à moins d’être vraiment complètement perdu dans la
montagne : « Whereareyoufrom ? ».
Au
début on joue le jeu, mais bon après quelques jours on commence à
saturer un peu. Surtout, si vous ne répondez pas, ils essaient de
« deviner » : « español ? alemán ? …. ». Eh oui, la plupart du temps il
semblerait qu’il n’y ait pas beaucoup de touristes francophones. Je dis
ça parce que les cartes des restaurants sont disponibles en espagnol,
allemand, danois, finnois, anglais et norvégien (si je me souviens bien
des drapeaux), parfois italien… très rarement en français.
Du coup, Jorge a fini par répondre parfois qu’il était portugais, ce qui est le cas… et ça leur en bouche un coin !
De
mon côté, j’ai réfléchi à quelques suggestions pour ne plus s’ennuyer
avec ces gens : pourquoi ne pas leur retourner la question ? Y tú, de
donde vienes ?!
Et pourquoi pas : « Well… I’m from Venus and my husband is from Mars »….
Diagnostic :
c’est une ile petite mais variée où on ne s’ennuie pas, car en général,
la météo est bonne , les Canariens sont accueillants et la ville de Las
Palmas très animée.
Comme nous aimons profiter du chaud et
du soleil le plus longtemps possible, nous avons choisi d’aller aux
Canaries en octobre, ce qui nous permet d’aller pas trop loin mais avec
une bonne météo à la fois pour la montagne et pour la plage.
Nous
avons loué une voiture, ce qui nous a permis d’explorer presque toute
l’ile, car elle n’est pas très grande. Il faut un peu moins de 2h depuis
l’aéroport pour se rendre dans les villages les plus reculés. Sinon
pour aller à Las Palmas (c’est-à-dire tout au nord) c’est environ 15
minutes et pour aller à Maspalomas (tout au sud) environ 30 minutes.
Le
but était de faire de la plage, d’explorer et de faire des via
ferratas. D’après Internet, il y en avait une dizaine. Ce que nous avons
vu par la suite, c’est que si ces vias étaient praticables en 2016 ou
2017, la plupart ne l’étaient plus en 2018. Apparement, elles ont toutes
été démontées sauf deux, faute d’entretien ou d’adaptation aux normes.
Tout
d’abord, nous sommes allés sur le site de Bahia Feliz / Tarajillo où se
trouvaient les via ferratas nommées « Extraplomix », « Primera luna »
et « Jesus Beitia ». Grâce aux indications trouvées sur différents
sites web, nous avons trouvé le lieu de parking et atteint le rocher
après environ une heure de marche dans un décor de petits canyons genre
far west, tout orange.
L’ « extraplomix »
semblait être en état de marche si je puis dire, mais vraiment très
rouillée. Nous ne l’avons pas faite, parce que c’est probablement la
via ferrata la plus dure qui existe, car elle n’est quasiment qu’en
dévers. La « primera luna » et « Jesus Beitia » étaient démontées, les
noms effacés et un caillou retenait un papier qui expliquait qu’elles ne
sont pas aux normes.
Nous
avons trouvé un BOUT de via ferrata. Entre la première et la deuxième
anciennes vias, il y avait des échelons et un câble tout neuf, où nous
sommes montés, mais ça n’a duré que 5 à 10 mètres. Ensuite, il n’y avait
rien, nulle part, pas de suite. Alors nous sommes redescendus par le
même chemin. Pas bien compris ce que c’était.
Le
jour suivant, nous sommes allés sur le site de Tafira Baja dans
l’espoir de faire les deux petites via ferratas « Bienmesabe » et
« Robenreford ». Le site est assez moche, car à côté d’une autoroute et
de gros pylônes pas très jolis, et pas vraiment dans la nature. Il est
au-dessus d’une plantation de bananes et le départ et l’arrivée se font
sur un grand ancien parking très glauque. La « bienmesabe » était
démontée, mais l’autre bénéficiait d’un beau câble neuf, pas toujours de
la même épaisseur que chez nous, mais ça a très bien été. Attention aux
cactus pour remonter au vieux parking.
Pour
notre troisième tentative, nous sommes allés sur le site de Tasarte.
Nous avons bien trouvé l’endroit et j’ai pu faire une photo du rocher
depuis le parking, donc l’approche n’est pas très longue il semblerait.
D’après Internet, la via ferrata « Amor cocodrilo » fait partie des deux
vias qui n’ont pas été démontées. Mais… il soufflait ce jour-là un vent
très fort, je dirais environ 50-60km/h. Nous étions dans la voiture,
arrêtés, et elle bougeait beaucoup, nous avions juste envie de
redescendre de la montagne avant que le vent nous emporte. Je suis quand
même sortie voir où se trouvait le chemin d’approche, mais on
n’arrivait pas à marcher droit à cause du vent, alors on a dû rentrer.
Notre
regret est que la via « Mirando al mar soñé» était (d’après une récente
vidéo sur Youtube) également démontée. En effet, elle était au-dessus
de la mer et cela devait être un endroit magnifique pour une via
ferrata, à l’instar de la via de Capo Caccia en Sardaigne.
En
conclusion, je dirais que c’est bien dommage d’ouvrir partout des vias
ferratas sur l’ile en 2015-2016 et de les fermer l’année d’après.
Ci-dessus, le site de la via « Robenreford » et ci-dessous le site de la via « Amor cocodrilo ».
Voilà un petit tuto pour débutant, une bouillote de poche bien
pratique pour l’hiver, car on peut la chauffer au microondes. Je ne
voulais pas que ce soit trop facile quand même alors j’ai choisi de la
faire en patchwork (avec des carrés très simples).
Vous aurez besoin pour cela de:
– un morceau de papier carré de 5cm x 5cm
– un morceau de papier rectangulaire de 11cm x 14cm
– des ciseaux de couture
– des chutes de tissu (au minimum trois tissus différents…)
– des épingles
– du fil si possible de la couleur du tissu
– une machine à coudre ;
-un fer à repasser et la planche
– 70g de riz
Marche à suivre:
1. Epingler le petit carré sur le tissu et découper précisément tout autour. Il faudra découper 24 carrés comme ceci, mais dans en tout cas trois tissus différents
2.Disposer tous ces carrés à l’endroit où on aimerait qu’il se trouve sur le « dessin ».
3. Pour coudre les carrés ensemble, on peut procéder par ligne. Dans
la première ligne, cousez le premier et le deuxième carré ensemble
ENDROIT CONTRE ENDROIT, puis le deuxième avec le troisième et le
troisième avec le quatrième.
La couture doit se faire à 1cm du
bord. POur cela, faites toujours longer au tissu la ligne 10 de la
plaque de la machine. Elle signifie 10mm, donc 1cm.
4. Ensuite, on fait la même chose avec la deuxième ligne de carrés qu’on a alignés dans l’ordre qu’on voulait.
5. Et enfin on fait la même chose avec la troisième ligne.
Résultat ci-dessous.
6. Avant de continuer, il est important à ce stade de passer au fer à
repasser toutes les coutures pour que chaque côté de chaque couture
soit plié sur lui-même. (photo)
7. Puis on épingle deux lignes ensemble, toujours côté propre contre côté propre.
8. On passe une couture à 1cm. Sur la photo ci-dessous, on voit bien
comme les coutures sont « ouvertes » et repassées de cette façon.
9. On fait la même chose avec la dernière ligne.
10. Une fois qu’un rectangle de 12 carrés est cousu, on peut coudre le deuxième identique ou avec un autre « dessin ».
11. Repasser le tout. Résultat ci-dessous.
12. Après on passe à la doublure. Prenez le grand papier et
épinglez-le comme sur la photo sur un tissu de votre choix, mais qui de
toute façon ne se verra pas. J’ai découpé moi-même dans un vieux tshirt
pour enfant.
13. Et on découpe tout proche tout autour.
14. On recommence la même chose (points 12 et 13) pour avoir un deuxième morceau identique.
15. On épingle les doublures contre les patchworks, ENVERS CONTRE ENVERS, côté moche contre côté moche, ci-dessous.
16. Enclenchez le point zigzag sur votre machine. Chez moi c’est le
numéro 4 (j’ai une pfaff), chez Bernina, c’est le 2. Bref, lisez la
notice.
17. Cousez les deux tissus ensemble tout au bord pour les fixer ensemble et faites la même chose avec les deux autres morceaux.
18. Alors attention on passe aux choses sérieuses.
Il va falloir épingler nos deux parties, PATCHWORK CONTRE PATCHWORK.
19.
Puis… dessinez au crayon deux petites marques. Elles serviront de
point de départ et d’arriver pour la prochaine couture, car on a besoin
de laisser une ouverture pour pouvoir retourner la pochette. Le crayon
et les ciseaux sur la photo montrent les marques.
20. On positionne le tissu sous le pied-de-biche de la machine à
l’endroit de la marque du bas. On fait un départ avec marche-arrière ou
point d’arrêt. On coud tout le tour à 1cm jusqu’à la deuxième marque, où
on fait également une marche-arrière ou un point d’arrêt.
21. On crante les coins (voir photo) pour ne pas avoir des gros tas dans les coins de la bouillote quand elle sera à l’endroit.
22. Retournez la pochette de bouillote et utilisez une épingle pour bien sortir les coins et les bords.
23. Bien repasser.
24. Remplir avec environ 70g de riz.
25. Plier les bords
restants vers l’intérieur et passez une couture à 1 ou 2mm du bord pour
bien refermer, avec des marche-arrières ou des points d’arrêt. Cette
couture est visible et il vaut donc mieux pour celle-ci d’être sûr
d’avoir un fil assorti aux tissus.
26. Chauffer 1 minute au
microondes à puissance moyenne-forte et emportez-la dans votre poche de
manteau pour garder les mains chaudes pendant les soirées de marché de
Noël dans la nuit.
Lausanne regorge de lieux magnifiques/insolites, de musées, de parcs, d’activités, de fêtes, de bars, de centres sportifs, de restaurants, etc. Il y en a pour tous les gouts. Voici ma petite sélection.
1. Manger un chocolat liégeois au Barbare (oui, manger)
On
reçoit une coupe remplie de chocolat chaud bien épais dans lequel
flotte une boule de glace à la vanille, le tout recouvert de crème
Chantilly. Un régal qui se trouve dans les Escaliers du marché qu’il va
falloir monter et descendre plusieurs fois pour se débarrasser des
calories qu’on vient d’ingérer.
2. Trouver la louve…
Bon
c’est de la triche, je vais vous dire où elle est. On prend l’ascenseur
à la Riponne, direction -3. Ensuite, on prend l’escalier jusque dans
les entrailles de la Terre…euh je veux dire le -4. Et là on arrive dans
une sorte de musée souterrain. On peut y voir des photos incroyables du
Grand-Pont, qui comprenait alors… deux étages ! On se dirige après vers
la vitre et on allume la lumière pour voir couler une des trois rivières
qui passent sous Lausanne : la Louve.
3.Jouer au lasergame
On
se constitue une équipe à l’avance (bonne chance pour ça) avec un grand
groupe d’amis ou de collègues, on réserve (très à l’avance si on veut y
aller le weekend) et…. C’est parti ! Nous voilà dans un jeu vidéo en
live. Chacun sa technique, rester caché, attaquer, se fondre dans le
noir pour contourner l’ennemi…
4.Gouter un taco de chaque sorte au Mexicana
Comme
ils sont petits, on profite d’en manger un peu de chaque : bœuf grillé,
porc rôti, poulet effiloché, fromage fondu, sans oublier d’y ajouter du
guacamole et de la salsa fresca. Rue Centrale, en face du Brasseurs.
5. Faire le marché du mercredi ou samedi matin
De
la Riponne jusqu’à St-François, en passant par la place de la Palud,
parce que ça fait une petite promenade et que c’est un des rares
endroits où acheter des bananes plantains, des bonnes fraises, etc.
6. Monter sur la cathédrale (ne pas confondre avec l’église St-François)
Pour
avoir une belle vue, faire un peu de sport et prendre l’air, vraiment
beaucoup d’air ! Pour ceux qui veulent monter encore plus d’escaliers,
il y aussi la tour de Sauvabelin.
7.Se promener au bord du lac depuis Ouchy jusqu’à Vidy et y faire un pique-nique avec des grillades
Le classique ! Un parc immense dans lequel se donnent même des cours de français gratuits.
8.Faire du VTT boueux à Chalet-à-Gobet ou de la piste vita pour les plus peureux (comme moi)
L’alternative
à Vidy, pour ceux qui préfèrent la forêt et une petite altitude (c’est
pas Zermatt non plus). C’est l’espace frais et vert de la ville, où se
déroule aussi une fois par année la journée du vélo.
9.Faire un escape game
Le plus : il y en a plein à Lausanne et c’est un truc génial.
Le moins : c’est cher, environ 30 à 70 francs, ça dépend du nombre de participants. Et ça ne dure qu’une heure (au maximum)…
10. Boire un cocktail à la movida
On
demande la carte des cocktails qui est plus grande que la télé et on
déguste les meilleurs de la ville. Ma sélection : chi chi sans alcool et
piña colada avec alcool. Ambiance musicale et déco assorties aux
cocktails.
Deux-trois petites informations et anecdotes sur les vias ferratas de
la région que nous avons faites jusqu’à maintenant. Je parle seulement
de celles que nous avons essayées, donc c’est normal qu’il n’y ait pas
la Gemmi, Videmanette, Verbier et un tas d’autres. C’est mon
« classement » personnel.
La plus fréquentée : le
Moléson. Si vous aimez la compagnie, grimpez au Moléson. C’est
probablement dû à sa situation assez centrale en Suisse Romande et non
en Valais. Bon, j’aurais aussi pu la classer dans la plus chère, car il
faut prendre le funiculaire pour monter jusqu’au départ, puis
redescendre en téléphérique et reprendre le funiculaire. Si vous le
faites à pied, partez tôt. Il y a deux via ferratas, une « facile » avec
un bout « expert » (un petit surplomb) et une « difficile », mais bon
j’avoue que question difficulté, je l’ai attendue pendant 2-3 heures
cette difficulté et ne l’ai pas trouvée. Le bon plan : la faire de nuit
quand c’est prévu au mois d’aout : c’est gratuit !
La plus mignonne :
Gabi. Elle se situe derrière le col du Simplon en redescendant.
Au-dessus d’un tunnel, elle n’est pas très longue et surplombe une jolie
rivière.
La plus FUN :
c’est une via ferrata qui tourne autour d’un gros rocher à Charquemont,
en France voisine près de la Chaux-de-Fonds. Le retour est hyper court
et se fait par les Echelles de la Mort. Cette via ferrata contient
différents ponts, une échelle en bois, une échelle en corde, un
« poteau » pour grimper et une tyrolienne excellente qu’on peut refaire
autant de fois qu’on veut à la fin de la via.
La plus dépaysante : la
via ferrata du barrage de Moiry, vers Grimentz. Elle est belle, dans la
montagne, l’eau du barrage est d’une couleur magnifique, le paysage est
verdoyant à perte de vue. La via en soi n’est pas très longue, mais
vaut le détour.
Il y a une sorte de table de pique-nique protégée par un filet, mais bon on n’a pas trop osé aller se suspendre là-dedans.
La plus difficile (et qui a fait couler de l’encre ces dernières années) : la
via Farinetta à Saillon. La première partie contient des petits ponts,
la deuxième est la plus belle, car elle surplombe la cascade, cela vaut
le détour. Je n’ai jamais fait la troisième partie car il faut beaucoup
de force dans les bras et d’après Jorge certains échelons sont posés
verticalement et assez espacés. Le plus : un comité(?) organise chaque
année une « via chasse » qui se fait le soir (les deux première parties)
en dégustant un menu chasse ou un autre menu parfois. L’occasion de
voir d’énormes araignées de TRES TRES près.
La plus mouillée :
la via ferrata de la Cascade aux Diablerets. Elle n’est pas mouillée
juste à cause de la cascade, mais c’est vrai que quand nous l’avons
faite, les barreaux étaient mouillés et glissants, d’autant plus qu’ils
sont lisses au lieu d’avoir des petites marques dessus. Elle demande un
peu de force et il y a une tyrolienne à la fin.
La plus haute : la via ferrata du Jägihorn, à Saas Grund (et non à Saas Fee comme indiqué sur certains sites web). Il faut savoir avant de faire cette via que vous devez absolument prendre la télécabine le plus tôt possible le matin. En effet, les télécabines font une pause à midi et s’arrêtent déjà à 16h. Or, il faut environ 6 heures depuis l’arrivée du télécabine pour marcher jusqu’au départ, effectuer la via ferrata et revenir à la télécabine avant la fermeture. Nous, on ne le savait pas. On n’a pas eu le temps et on a juste marché deux heures jusqu’au départ et on est vite revenus à la télécabine. On était déjà épuisés parce que c’est vraiment en altitude.
La plus fatiguante : les vias ferratas de Leysin. Celle d’en-bas tire assez sur les bras si vous n’avez rien pour vous vacher. Belle vue sur les vraies vaches, soit dit en passant. Mais encore plus fatiguante est celle d’en-haut, qui nécessite de prendre le télécabine, de marcher en tout cas 1 heure pour gravir le versant d’en face qui mène au pied de la via ferrata. Celle-ci n’est pas difficile en soi, mais a une magnifique vus au sommet. Retour 1-2 heures jusqu’aux télécabines ou jusqu’à Leysin directement, par des petits chemins en bord de falaise. Ci-dessous le rocher de la via ferrata et la « bouche » du rocher.
La plus CHERE : la
via ferrata des Rochers de Naye se situe dans une région touristique
avec des prix touristiques… Il faut prendre un mignon petit train des
Marmottes qui vous amène presque au départ (petite marche depuis Jaman)
et à la fin de la via, il y a une vue incroyable sur le lac Léman, puis
vous pouvez rendre visite aux fameuses marmottes.
La plus ludique :
la via ferrata de la Roche au Dade, à Morez (France voisine), côté
montagnes du Jura. Elle est située dans une vallée proche de la ville
qui l’entretient et qui déclare son ouverture chaque année sur un
panneau en ville. La première partie est assez bizarre, car bien que la
paroi soit droite, les échelons sont posés en diagonales, ce qui fait
bien travailler les muscles. Suivent une tyrolienne ascendante et une
autre tyrolienne aussi. Au sommet, belle vue sur la ville et les
alentours.